Une créativité compacte inattendue avec les objectifs contemporains SIGMA DC DN

Tout au long de mes années passées à prendre des photos du ciel nocturne, un thème commun que j’ai toujours essayé de souligner a simplement été « Ne laissez pas votre équipement vous empêcher de prendre des photos des étoiles. »

L’un des obstacles les plus courants dont j’entends les gens s’inquiéter est la possession d’un appareil photo doté d’un APS-C ou d’un capteur de recadrage. Non sans mérite, car photographier avec un capteur plus petit présente des défis en matière d’astronomie.

Cependant, la vérité en matière d’astrophotographie est qu’il y aura toujours des limites. Par exemple, même avec l’appareil photo et l’objectif les plus chers, notre temps d’exposition est toujours limité par la rotation de la Terre pour que les étoiles ressemblent à des étoiles et non à de courtes lignes pointillées. Sachant que même les équipements photo haut de gamme ont des limites, la réponse consiste à savoir quelles pourraient être ces limites et comment travailler pour obtenir les meilleurs résultats de qualité.

Dans cet esprit, j’ai concocté un petit kit de voyage avec un appareil photo sans miroir APS-C et une sélection de SIGMA. objectifs au format crop DC DN abordablespour voir ce que je pourrais capturer avec du matériel à prix modéré.

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Photographier le mont St. Helens sous les étoiles

Je commencerais par utiliser un boîtier d’appareil photo Sony A6600 (24 MP, format APS-C) et je l’associerais à deux objectifs principaux SIGMA différents, le 16mm & 23mm objectifs tous deux dotés d’ouvertures F1.4 et de deux objectifs zoom SIGMA, le 10-18mm & 18-50mm objectifs avec une ouverture F2.8. J’avais prévu un voyage dans le nord-ouest du Pacifique où j’espérais photographier la Voie lactée pendant la nouvelle lune au-dessus du mont Saint Helens et capturer quelques autres images panoramiques tout au long du voyage. C’était comme une occasion difficile, mais parfaite, de tout tester.

À mon arrivée, j’ai trouvé mes compositions tout en décidant quels objectifs et techniques utiliser. Pour être honnête, mon approche n’était pas si différente de celle si j’avais été là avec l’équipement plein format que j’utilise habituellement. Je savais qu’il y aurait une opportunité de capturer une image avec des détails au premier plan et des étoiles à la fin de l’heure bleue alors qu’il restait encore un peu plus de lumière disponible dans le ciel. Ces situations sont parfaites pour les zooms avec une ouverture F2.8.

J’ai fini par commencer la soirée en faisant exactement ça. En utilisant le 10-18 mm F2.8 DCDN | Contemporainj’ai capturé mes premières images de la soirée au moment même où la dernière lueur du coucher du soleil s’estompait et où les premières étoiles commençaient à émerger. C’est toujours l’un de mes moments préférés pour photographier.

Avant que le ciel ne soit complètement sombre, j’ai pris quelques photos supplémentaires de l’heure bleue en utilisant le 16 mm F1.4 DC DN | Contemporain. Celui-ci m’a marqué grâce aux étoiles émergentes et à la subtile lueur à l’horizon.

Puis, alors que la dernière lueur disparaissait, il était temps d’essayer différentes techniques pour capturer le ciel nocturne et les zones de premier plan.

Méthode n°1 : Composite avec deux expositions simples

Passer au 23 mm F1.4 DC DN | Contemporain objectif pour cette composition, J’ai pris une pose plus longue de 30 secondes spécifiquement pour le premier plan. Cela permettait d’obtenir un peu plus de lumière, mais les étoiles sur cette image auraient sensiblement moins de forme d’étoile en raison de la rotation de la Terre. Dès que l’exposition plus longue fut terminée, J’ai ensuite pris une exposition plus courte pour capturer les étoiles aussi nettes que possible.. Bien que l’image finale soit un mélange de deux prises de vue, je prends toujours mes images à quelques instants d’intervalle afin que le résultat final soit aussi authentique que possible.

Méthode n°2 : Empilement d’images

J’ai décidé de prendre ma deuxième image du ciel complètement sombre de la nuit en utilisant la technique d’astrophotographie très courante, l’empilement d’images. Cette technique consiste à prendre consécutivement entre 5 images et plus en utilisant exactement les mêmes paramètres. Ces images sont ensuite prises et combinées à l’aide du logiciel de votre choix (de nombreuses options sont disponibles). Cette méthode de prise de vue et de post-traitement est effectuée dans le but de réduire le bruit et de créer une image globale plus propre.

La position de la Voie Lactée dans ma composition ayant changé, je suis passé à l’image ultra-large. 10-18 mm F2.8 DCDN | Contemporain afin de capturer davantage de ciel. Et comme j’avais prévu d’empiler les images pour réduire le bruit, l’ouverture maximale de F2.8 ne poserait pas de problème.

Méthode n°3 : composite de suivi d’étoiles

Ma dernière image de la Voie lactée de la nuit nécessiterait un peu d’aide supplémentaire d’un chercheur d’étoiles. Ces appareils reposent sur votre trépied et sont alignés avec l’étoile polaire. Étant donné que je suis installé dans l’hémisphère Nord, je chercherais Polaris. Une fois configuré, le suiveur d’étoiles tournera lentement vers la gauche pour aider à compenser la rotation de la Terre et permettre de longues expositions tout en gardant les étoiles nettes. Après que l’image des étoiles ait été prise une image supplémentaire pour le premier plan est requise avec le suivi des étoiles désactivé.

En prime, des aurores boréales !

Juste au moment où ma première nuit d’astro était sur le point de se terminer, une lueur est apparue à l’horizon dans la direction opposée à la direction dans laquelle j’avais filmé toute la nuit. Une belle nuit de photographie de la Voie lactée s’est terminée par le aurore illuminant le ciel. Cela n’aurait pas pu être mieux planifié.

L’aurore était plutôt lumineuse, ce qui signifiait que l’ouverture F2.8 serait parfaite et que la plage de zoom me permettrait de cadrer rapidement une composition dans une direction que je n’avais pas prévue de prendre en photo.. J’ai couru pour prendre des images tout en regardant des piliers de lumière rouges danser dans le ciel et je n’arrivais pas à croire ma chance. Difficile de terminer une soirée d’astrophotographie en mieux !

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Un matin brumeux rencontre un objectif zoom polyvalent

Pour rester dans le thème, ce qui s’est passé le lendemain matin n’était pas quelque chose à quoi je m’attendais. Les premières heures du matin ont apporté un Couche classique de brume et de brouillard du nord-ouest du Pacifique. Même si je peux dire avec 100 % de certitude que cela n’avait aucune importance pour les locaux, j’étais enthousiasmé par l’opportunité de prendre quelques photos tout au long de mon trajet. Avant de partir, j’ai mis le 18-50 mm F2.8 DCDN | Contemporain sur mon appareil photo et j’ai tout sécurisé sur le siège passager. J’espérais que la plage focale serait parfaite pour isoler une partie de la brume et du brouillard, car elle descendait suffisamment bas pour couvrir les arbres.

Le petit facteur de forme et la polyvalence de ce combo m’a donné envie de partir capturer certaines de ces scènes que je n’avais si souvent pas envie d’essayer. J’ai trouvé quelques endroits où m’arrêter et me promener avec un seul objectif. J’ai été surpris car j’ai fini par prendre la plupart de mes images à l’extrémité la plus longue de la plage focale. Pouvoir isoler des sections de la forêt avec une épaisse brume m’a permis de prendre facilement des images très minimalistes.. Un peu en dehors de mon style habituel, mais j’ai vraiment fini par l’apprécier. C’était aussi la première fois que j’utilisais la mise au point automatique sur l’objectif. Même si je ne photographiais rien qui bougeait très rapidement, J’ai été impressionné par sa capacité à trouver une mise au point précise à travers l’épaisse couche de brume dans l’air..

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Disponible également pour la monture Canon RF !

Me sentant inspiré par un bref départ de l’astrophotographie, j’étais ravi de partir avec un premier échantillon de la version Canon RF Mount du 16 mm F1.4 DC DN | Contemporain. À l’aide du Canon EOS R7, je me suis rendu à Princeton, dans le New Jersey. Cet objectif est pratiquement identique à son homologue à monture E : excellent en basse lumière tout en conservant une taille compacte. L’ouverture F1.4 de cet objectif en a fait l’un de mes favoris que j’ai utilisé sur le Sony A6600, j’étais donc enthousiasmé par le deuxième tour sur un nouveau système de caméra..

En l’utilisant pendant la journée, J’ai trouvé l’autofocus à la fois rapide et précis alors que j’errais sans vraiment de destination en tête. Avec la large focale, je me suis retrouvé attiré par la belle architecture de la région et l’abondance du cadrage à l’intérieur. Photographier ces scènes complexes, en remplissant le cadre d’un bord à l’autre, laisse vraiment l’objectif briller en montrant à quel point il est net.. C’était vraiment excitant de me sentir inspiré par quelque chose dans lequel je n’avais pas tourné depuis si longtemps.

En examinant les images, J’ai décidé de donner à quelques-uns d’entre eux un traitement spécial noir et blanc pendant le post-traitement. Quelque chose que je faisais assez souvent, mais dernièrement, je n’ai tout simplement pas pris de photos qui me semblaient appropriées. Certes, mes compétences en matière de traitement N&B me semblaient un peu rouillées, mais j’ai vraiment aimé travailler sur les images.

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De retour sous les étoiles

Même si je profitais d’un peu de temps sous le soleil, la lumière des étoiles m’appelait. Bien qu’une grande partie de mon astrophotographie soit prévue pour les cieux sans lune, utiliser la Lune pour éclairer mon premier plan est l’une de mes façons préférées d’aborder une composition intéressante. La lumière de la Lune peut aider à apporter de la couleur et de la lumière dans des endroits souvent difficiles à photographier tout en projetant des ombres pour ajouter de la profondeur et de l’intérêt à votre image.

Non seulement cela aide d’un point de vue artistique, mais cela peut aussi être un outil incroyable pour compenser un appareil photo qui a du mal avec des performances ISO plus élevées. Heureusement, le Canon EOS R7 associé à l’ouverture rapide F1.4 du SIGMA 16mm F1.4 DC DN | C conçu pour un incroyable combo de faible luminosité avec capteur de récolte. Cette aventure au clair de lune avait donc un but purement artistique et illustratif.

Le phare d’East Point, dans le sud du New Jersey, est un endroit que j’ai passé d’innombrables nuits à visiter sous les étoiles. J’ai toujours aimé le phare lui-même, et il est relativement isolé et situé dans une zone plus sombre de l’État. Cependant, les arbres environnants et le vent notoire peuvent en faire un endroit difficile à photographier. Le plus souvent, les images de cette région sont criblées d’arbres et de buissons flous qui entourent le phare alors qu’ils se balancent au gré du vent pendant les longues poses.

Lors de cette visite, j’ai profité du clair de lune et de l’ouverture rapide pour prendre des expositions comprises entre 2,5 et 3,2 secondes afin de tout capturer aussi net que possible. En regardant à l’arrière de la caméra, j’ai été immédiatement excité par le reproduction des couleurs et netteté dans tout, des arbres aux étoiles près des bords des coins.

Après avoir capturé quelques images du phare, j’ai réalisé à quel point tout était immobile. Il n’y avait presque pas de vent et le clair de lune me permettait de me promener sans lampe frontale. J’y ai passé le reste de mon temps à explorer et à profiter de ce calme paisible. En restant dans les mêmes temps d’exposition plus courts, j’ai pu capturer des images que je n’avais prises lors d’aucun voyage précédent.. Des arbres solitaires environnants au ciel étoilé tout en montrant la texture de l’eau, quelque chose si souvent absent des images prises de nuit.

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Dépassant mes attentes

Quand j’ai reçu ce kit de Objectifs DC DNje m’attendais à créer des exemples d’images de ciel étoilé pour encourager les gens à photographier le ciel nocturne. Que je partirais et capturerais quelque chose d’aussi proche que possible de ce que je ferais normalement avec l’équipement plein format que j’ai généralement avec moi.

Même si j’ai fini par avoir le sentiment d’avoir atteint mon objectif initial, ce qui s’est également passé, c’est Je me suis retrouvé impatient d’explorer un peu au-delà de ma récente zone de confort. Le fait de sortir avec un petit appareil photo et ces objectifs compacts m’a permis de voir les choses un peu différemment de ce à quoi je suis habitué. Et qu’il s’agisse simplement d’une rupture avec la norme ou d’un premier pas dans le monde fascinant de l’astrophotographie, ces objectifs font vraiment mouche.